Capucine, Emma, Malo … comme eux, 211 471 17 ans -olds, motivé par un désir d’autonomie, ont remporté le permis de conduire depuis le 1er janvier 2024, un engouement sans répercussions à ce stade sur le nombre d’accidents .
« Je ne voulais pas passer par la conduite accompagnée parce que je n’en avais pas besoin »assure l’AFP Emma, permis B en poche en septembre dernier, après un cours classique (apprentissage du code routier, examen théorique et « 25 heures de leçons »).
Première conduite accompagnée, près de 300 000 candidats ont réussi l’examen pratique selon le ministère de l’Intérieur, tournant la page de permis de 18 ans, en vigueur depuis 1922, avec une augmentation des enregistrements de la petite couronne parisienne (+ 75% en Seine- Saint-denis) et à l’étranger (+ 41% en Guyane).
Emma a franchi la porte d’une école de conduite à Clamart (Hauts-de-Seine) deux mois après la demande de l’âge juridique réduit, annoncé en juin 2023 par Elisabeth Borne, alors Premier ministre.
UN « Vrai plus »Selon l’actuel ministre de l’Éducation nationale, pour promouvoir la mobilité, en particulier les jeunes apprentis et les environnements ruraux.
«Depuis ma première heure, j’étais à l’aise de conduire. Je joue au football, l’instructeur a vu directement que j’avais de bonnes pieds et mains de coordination »sourit le milieu de terrain, « Taxi » Occasionnel de ses coéquipiers pour leurs matchs extérieurs, dans un habitant de la ville ou un SUV.
La pratique d’un sport utilisant des habiletés motrices peut rendre les choses plus faciles, « Avant de commencer les leçons »Confirme Hassen Ait Mansour, 35 ans, l’instructeur de l’école de conduite d’Emma.
« Tous ceux de 17 ans avaient le permis sans conduite accompagnée »Il prétend. « Ils apprennent rapidement » À cet âge, « Avoir ce peu de négligence qui fusionne avec confiance, leur permet de ne pas avoir peur » par rapport à « Quelqu’un à quarante ans ».
Malo Delaby, âgé de 18 ans aujourd’hui, et Pauline * (le prénom a été changé) a préféré être d’accord avec la conduite accompagnée, qui a rendu accessible, avant la réforme, sésame de 17 ans. C’est comme ça « Le plus sûr en termes de succès »Selon Patrick Mirouse, président de l’ECF Driving School Network basé à Marseille.
« J’étais plus serein à l’examen avec 3 000 km dans les jambes » De la deuxième classe, définit l’étudiant de l’Institut national des sciences appliquées de Lyon. Week-end, vacances scolaires: Malo revient à Mende (Lozère) en voiture, essentiel dans cette petite ville du sud de la France, « Assez enclavé » Niveau de transport.
Pauline a pu, grâce à ses parents, de s’adapter à la Ring Road, aux embouteillages, « Conditions difficiles » que les moniteurs n’explorent pas nécessairement avec les étudiants. Maintenant prêt à quitter Châtelon (Hauts-de-Seine) pour ses études post-baccalaureat en médecine, sur le campus d’Orsay (Essonne) ou dans la capitale « De préférence ».
« De nombreux jeunes qui étaient accompagnés de conduite à 17 ans abrégés et ont obtenu le permis »Indique à l’AFP Patrick Crespo, président des écoles de conduite avec CER Network, créé à Paris.
« Ce n’était pas du tout rapide pour moi car je suis en apprentissage »Justifie Capucine, qui partage sa vie quotidienne entre le Mont-Dore (puy-de-dôme) et son lycée agricole de Roanne (Loire).
Après avoir parcouru plus de 300 km avec son école de conduite, il a augmenté son compteur avec moins de dix heures en accéléré et transformé le test, fin de l’été 2024.
Pour gagner en confiance à bord de son 4×4 gris, « Je viens de mener plusieurs fois dans des endroits que je connaissais »Dit Capucine, qui continuera de traverser la route, au début de la prochaine année scolaire, pour son BTS à Mornand-en-Forez (Loire).
Quelle que soit la formule choisie, « La véritable évaluation de la conduite à 17 ans est + quel coût pour vivre pour nos jeunes? + Nous verrons à temps »Souligne Philippe Destarkeet, secrétaire général de la Force Ouvrière Union des inspecteurs de permis de conduire.
La profession n’était pas selon lui « Favorable » Pour rendre le permis accessible à une classe d’âge de moins de 18 à 24 ans, les plus exposés aux accidents de la route (497 tués selon l’évaluation de la sécurité routière 2023).
Pour le moment, les chiffres temporaires montrent que les jeunes conducteurs de 17 ans « N’ont pas de taux d’accident plus élevé que les autres groupes d’âge »Selon le ministère de l’Intérieur.
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