L’EDITORIAL DU FIGARO – Chaque camp se met à rêver que le bon niveau de participation annoncé pour les 30 juin et 7 juillet lui sera favorable.
On n’a pas fini d’évoquer les raisons qui ont poussé le chef de l’Etat à appuyer sur le bouton nucléaire de la dissolution. Le soir de la débâcle, pour justifier sa décision, il a dit vouloir faire » confiance « en France, parce qu’il « sait toujours s’unir et résister » ne pas « céder à toute démagogie ». Il a ainsi invité les électeurs à voter à nouveau, comme s’ils s’étaient trompés, perdus, trompés lors des élections européennes. Peut-être pensait-il aussi au général de Gaulle qui, après avoir dissous l’Assemblée au printemps 1968, avait obtenu une écrasante majorité. Le « éclair » avait assez duré pour les Français, mobilisés en masse lors des urnes.
Mais ce n’est pas de Gaulle qui le veut ! Et puis Emmanuel Macron lui-même est-il l’incarnation de la paix sociale, gage de stabilité aux yeux des Français ? Il serait un peu hâtif d’oublier que la révolte des « gilets jaunes » a éclaté lors de son premier mandat. L’Élysée aimerait pourtant le fort…
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