Thomas Rudigoz (Ensemble), député depuis 2017, se serait passé d’un tel timing. Après la dissolution surprise, le président sortant doit monter une campagne expresse, dans un contexte qui lui est clairement défavorable. Avec 6 686 voix, la liste présidentielle a été distancé par les européennes. Derrière le RN (6 790 voix) mais aussi loin derrière les partis de gauche (7 746 et 7 491 voix). Cinglant. Mais relativiser à l’aube d’une élection législative plus locale à deux tours et aussi inédite que difficile à lire.
Il y a deux ans, sa victoire avait été remportée grâce à 1.400 petites voix face à Aurélie Gries (LFI), arrivée première au premier tour. Un duel serré s’est alors joué dans la dynamique pourtant favorable des élections présidentielles favorables. Alors, peut-on s’attendre à un tel scénario deux ans plus tard ?
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