Ces produits immobiliers bénéficiant d’une réduction d’impôt arrivent en fin de vie avec des pertes atteignant parfois 50 à 70% pour les petits propriétaires.
Cet article est issu du « Figaro Magazine »
C’est une douche froide pour les milliers d’épargnants qui ont cru aux promesses étonnantes des SCPI fiscales, ces produits immobiliers qui promettaient d’offrir 20 à 30 % de réduction d’impôt sur les sommes investies (via les dispositifs Malraux ou déficitaires). terrains dans l’ancien, Robien ou Scellier dans le neuf…) et des rendements corrects. La glace.
Ces investissements, très prisés dans les années 2000, arrivent désormais en fin de vie. Et les immeubles détenus par ces fonds sont en train d’être vendus. Les milliers de particuliers qui y ont investi une partie de leur épargne découvrent avec consternation que certains de ces placements ne valent plus grand-chose.
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Les cours des actions – chacune représentant une fraction de la valeur du portefeuille – ont chuté pour certaines de ces SCPI de 50 à 70% par rapport à leur valeur initiale, selon les estimations les plus récentes, malgré l’envolée des cours de bourse. l’immobilier au cours des vingt dernières années. Quant aux retours…
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