Parce que le jeu offensif des Bleus n’avait jamais été aussi médiocre, dans une phase finale, depuis 2010. Parce que l’envie d’autre chose est au moins aussi forte que l’envie de faire mieux. Parce que l’alternative s’appelle Zinédine Zidane et qu’il est difficile de se résigner au fait qu’il ne sera jamais sélectionneur, ou trop tard, sous prétexte que la France est en demi-finale de l’Euro. Parce qu’il faut considérer l’usure et le sentiment de confiscation après douze ans de mandat, bientôt quatorze. Parce que l’abri du résultat ne peut être éternel dans une équipe dominante, il faut débattre de l’avenir de Didier Deschamps, le meilleur sélectionneur de l’histoire de l’équipe de France.