Il n’est pas clair si la décision permettra aux entreprises israéliennes d’y participer, car le salon de l’armement est déjà en cours et se termine vendredi.
La semaine dernière, un autre tribunal a statué que Coges, l’organisateur d’Eurosatory, devait interdire non seulement aux entreprises israéliennes mais également aux responsables et intermédiaires israéliens de participer au salon de l’armement. La Coges, soutenue par le ministère français des Armées, fait appel de cette décision.
En réaction à la décision française d’interdire les entreprises israéliennes, le maire adjoint de Jérusalem, Ariel King, a demandé aux services d’assainissement de cesser de collecter les déchets du consulat français.
Le ministère des Armées et le Coges n’ont fait aucun commentaire.