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Décryptage – Le film Meilleurs jours, D’Elsa Bennett et Hippolyte Dard, dissèque avec finesse les spécificités de l’alcoolisme féminin. Concentrez-vous sur un tabou.
Cocktails festifs pour les New-Yorkais Sexe et la villeUn peu de blanc sans enthousiasme pour Romy Schneider sur le point de La piscineUn gadget humoristique comme la grand-mère pour la grand-mère de Tuchevin mondain Femmes au foyer désespérées… À l’écran, les héroïnes ont souvent un verre à la main. Pour eux, la consommation d’alcool est courante, rarement problématique, souvent soumise à des situations de comédie. Ici et ailleurs (Un dernier pour la route,, Le son des glaçons,, Ivre,, La vallée des fous…), Les films traitant sérieusement de cette dépendance s’articulent généralement autour des figures masculines. Mais, après le récent Le dépassement, Dans lequel Saoirse Ronan incarne une dépendance à la recherche de reconstruction, un duo des réalisateurs français, Elsa Bennett et Hippolyte Dard, attaque également ce fait de la société dans leur premier film.
Sur la base de leurs connaissances intimes sur le sujet et le travail de recherche avec les soignants et les patients, leur film, Meilleurs jours, dire…