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le syndicat UNI dénonce des affiches d’hommage arrachées, notamment à Sciences Po

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L’Union nationale interuniversitaire, syndicat de droite, a lancé une opération collage après le meurtre du jeune adolescent au Bois de Boulogne par un migrant de l’OQTF, mais des vidéos montrent des affiches arrachées.

Le meurtre de Philippine, dont les obsèques ont eu lieu ce vendredi à Versailles, continue de susciter des réactions politiques, souvent vives. Ainsi, l’Union nationale interuniversitaire (UNI), syndicat étudiant marqué à droite, s’offusque ce vendredi du déracinement par des militants qualifiés «  extrême gauche » d’affiches en soutien à l’adolescente de 19 ans, tuée samedi 21 septembre au bois de Boulogne par un Algérien sans-papiers de 22 ans, sous OQTF et déjà condamnée pour viol.

Une vidéo, qui tourne en boucle sur les réseaux sociaux, montre des jeunes arrachant des affiches sur lesquelles on peut lire «  Justice pour les Philippines. Étudiant assassiné par une OQTF non exécutée ».

La scène se déroule dans le hall d’entrée de Sciences Po Paris devant le «  Barge »où l’on entend un élève crier : «  N’hésitez pas à aller chasser les racistes ». «  Elle est morte. Elle avait notre âge. Nous la respectons s’il vous plaît »répond un jeune homme, qui tente de l’empêcher de déchirer les affiches contenant une photo de la victime. Publiée ce vendredi et partagée par CNews, la vidéo ne pouvait à ce stade être datée précisément.

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Scènes similaires à Lille et Grenoble

Une autre scène, similaire, se déroule cette fois à proximité du campus de l’Université catholique de Lille, où a été écrit «  Une Philippine tuée par un migrant marocain dans le cadre de l’OQTF » sur des pages imprimées, arrachées par plusieurs jeunes non identifiés.

Des déracinements similaires ont également été dénoncés, vidéo à l’appui, par l’UNI de l’Université de Grenoble. Sous le portrait de la jeune femme, on pouvait cette fois lire : «  Philippine, étudiante de 19 ans, tuée par un migrant dans le cadre de l’OQTF ».

«  Les militants de l’UNEF sont allés directement les arracher. L’extrême gauche ne se soucie pas de la mort d’un étudiant car l’assassin n’a pas le bon profil. Les anti-France »a réagi le syndicat de droite sur X ce vendredi. Le lien avec l’Unef, syndicat de gauche, n’est pas encore établi.

Cammile Bussière

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