Un mois après l’agression dans la rue du rabbin à Orléans, qui a suscité une grande émotion et de nombreuses réactions politiques, le suspect arrêté a été jugé mercredi 23 avril devant le tribunal de la ville de cette ville.
« Le rabbin et son fils sont toujours extrêmement choqués »dit leur avocat à la France-Presse (AFP)e Alexandra Levy-Druon, spécifiant que la première devrait être présente à l’audience, qui aura lieu à huis clos à partir de 14 h. « Anxiété du rabbin » Arié Engelberg a l’idée d’être confronté à son agresseur.
« Il a particulièrement peur des post-processus et des représailles possibles »Elle a ajouté, celui-ci étant toujours « Très surpris par l’ampleur prise par l’affaire ». Mais « Ce procès est nécessaire pour faire toute la vérité sur ces actes ».
Un assaut pour lequel le suspect – « Une mineure isolée, qui est arrivée en France depuis moins d’un an »avait déclaré son avocat à la fin du mois de mars – il fallait être jugé des dirigeants de violence volontaire commis à cause de l’appartenance ou du non-confortable, réel ou supposé, de la victime à une religion. Le jeune homme sera également poursuivi pour « Violence psychologique » En ce qui concerne le fils d’Arié Engelberg, 9 ans, présent pendant les faits.
Contacté par l’AFP, le Conseil accusé, Me Nicolas Bouteillan, a déclaré qu’il ne souhaitait pas communiquer en amont de l’audience. Son client avait déclaré lors de sa garde à vue « Avoir 16 ans et être de nationalité palestinienne »sans« Aucun élément ne permet de remettre en question l’état minoritaire qu’il déclare »Selon un communiqué de presse du 24 mars du procureur de la République d’Orléans, Emmanuelle Bochenek-Puren.
Le suspect nie être à l’origine de l’altercation
À la fin de la garde de la police, le suspect avait finalement prétendu être de nationalité marocaine, selon le magistrat. Il avait été placé en détention pré-provenant par le juge Liberty and Detention « Conformément aux réquisitions du procureur ». Confronté aux termes de la plainte déposée et aux témoignages recueillis, il a ensuite eu « Le fait d’être entraîné à l’origine de l’altercation et maintient s’être défendu ».
Concernant son attaque dans le centre-ville le 22 mars « Vers 13 h 40 »Le rabbin Arié Engelberg, « Accompagné de son fils »a dit qu’il avait été attaqué par le mineur, « En tournant (et dans) Le questionnement sur sa religion (…) Tout en prononçant des insultes anti-sémititiques et en crachant dans leur direction ».
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M. Engelberg a également dit que son agresseur lui avait demandé s’il était juif: « J’ai répondu oui » Et « Il a commencé à dire » tous les Juifs sont des fils de … « ».
En 2024, 1 570 actes anti -mititiques identifiés en France
Le jeune homme, sans formation particulière, est « Impliqué dans trois procédures judiciaires, menées entre octobre 2024 et décembre 2024, pour des actes de trafic de drogue et de violence volontaire contre la possession des personnes de l’autorité publique à Marseille, et un vol aggravé » À Orléans, a également déclaré le communiqué de presse. Chaque fois, « Il a déclaré une identité différente ».
L’adolescent avait aussi « Refusé de se soumettre à des déclarations de signalisation et à des échantillons biologiques permettant son identification, avant de lui soumettre »pour lequel il sera également poursuivi. Le jeune homme sera également essayé de « Utilisation drainante »Deux grammes de résine de cannabis ayant été trouvé sur lui.
L’agression avait suscité une grande émotion dans la ville, et plus d’un millier de personnes avaient rassemblé quarante-huit heures après les faits « À l’appui du rabbin » et pendant « Dénoncez l’anti-samitisme ».
En 2024, 1 570 actes anti -mites ont été identifiés en France, selon le ministère de l’Intérieur. Le Conseil représentatif des institutions juives en France (CRIF) avait déploré, en janvier, le niveau « Historique » de ces attaques, avec un » explosion « Après le 7 octobre 2023, la date de l’attaque sans précédent au Hamas en Israël.