Le sort de la Brigade de Loire pas encore décidé après les violences de Nantes-Le Havre
» Au-delà de cette longue procédure et de l’issue qui doit être juridiquement sûre, des sanctions individuelles fermes plutôt que des sanctions collectives sont à privilégier : il faut se concentrer davantage à court terme sur les 70 à 80 individus qui ont tenté d’envahir le terrain et prononcer des interdictions exemplaires comme le plus rapidement possible afin d’éviter de nouveaux excès lors des prochains matches »indique le cabinet du ministre, qui précise que comme « la Brigade Loire n’est pas une association mais un « groupe de fait », la dissolution s’effectuerait forcément dans un temps long et les fauteurs de troubles pourraient toujours se rendre au stade. »
Le port de cagoules rend cependant difficile l’identification des fauteurs de troubles.