Depuis la réouverture lundi par Israël de cette partie de la bande de Gaza, les espoirs déplacés de trouver des parents qui sont restés dans le nord, sans savoir dans quel état sont leurs maisons.
Après 15 mois d’attente, ils rentrent enfin chez eux, bien que leurs maisons puissent être en ruine.Depuis le lundi 27 janvier, une marée humaine est revenue au nord de la bande de Gaza, après un dernier compromis à minute entre Israël et le Hamas pour la libération de six otages, permettant le retour du déplacé.
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Plus de 376 000 Palestiniens ont déjà fait ce voyage entre lundi matin et mardi midi, a déclaré le bureau des Affaires humanitaires des Nations Unies. Depuis l’ouverture du passage menant au nord, un flux ininterrompu d’hommes, de femmes et d’enfants chargés de bagages ou de chariots poussants s’est éteint. Ici, en images, la marche de ces centaines de milliers de Gazaouis, tandis que la trêve en vigueur depuis le 19 janvier reste fragile.
Un flux incessant de personnes monte la côte de Gaza, à travers la ville centrale de Nuseirat, le 27 janvier 2025. (AFP)
Chèvres, moutons … Les Palestiniens ramènent également leur bétail au nord de la bande de Gaza le 27 janvier 2025. (Majdi Fathi / Nurphoto / AFP)
Ils ont actuellement 376 000 déplacés pour avoir choisi un retour chez eux, selon le bureau des affaires humanitaires des Nations Unies. (Omar al-Qattaa / AFP)
Une petite fille regarde vers le photographe tandis que les véhicules, passant par le couloir Netzarim et la route Salah Al-Din, sont vérifiés avec des appareils à rayons X le 29 janvier 2025. (Salhi / anadolu / afp)
Les membres des Brigades d’Al-Qassam, la branche armée du Hamas, supervisent le mouvement des Gazaouis sur la bande côtière le 27 janvier 2025. (Fadel aa almaghari / anadolu / afp)
Des embouteillages interminables formés sur la route Salah Al-Din à Gaza, le 28 janvier 2025. (Hassan Jedi / Anadolu / AFP)
Les Palestiniens, avec leurs effets personnels, attendent le point de contrôle à mi-chemin de la bande de Gaza du Nord le 28 janvier 2025. (Hani Alshaer / Anadolu / AFP)
Les hommes de Gazaouis représentent un quart de ces personnes déplacées, les femmes et les enfants, selon l’ONU. (Salhi / anadolu / afp)
À Sunset, le 28 janvier 2025, les Gazaouis ont poursuivi leur marche, avec l’espoir de trouver des parents qui sont restés dans le nord de l’enclave. (Ali Jadallah / Anadolu / AFP)
Un enfant marche parmi les décombres au nord de la bande de Gaza, le 28 janvier 2025. En septembre 2024, 66% des bâtiments avaient déjà été endommagés, selon le Centre satellite des Nations Unies. (SAEED JARAS / IMAGES MIDGESS EST / AFP)