Avec 7 points derrière son rival de Barcelone avant Kick -off, le Real Madrid n’avait pas d’autre choix que de gagner sur la pelouse de Getafe pour espérer jouer le titre de champion jusqu’à la fin. Et pour cela, il a aligné une équipe BIS, en l’absence de Mbappé kylien et en prévision de la finale de la Coupe King contre le FC Barcelone samedi prochain. Endrick, Arda Güler et Brahim Diaz ont accompagné Vinicius Junior en attaque. Endrick pourrait rapidement goûter la dureté de la défense de Getafe, le troisième meilleur du championnat, avec un duel de ragins livrés avec Duarte. Les deux hommes sont retournés souffler, mais c’est le football qui a souffert.
Classification générale de Liga
Rien à mettre dans la dent du côté de Madrid jusqu’à la 18e minute, une bonne percée de Lucas Vazquez, un bon centre de Vinicius et un tir de Fran Garcia poussé par David Soria. Un premier avertissement rapidement suivi de la sanction. Après une nouvelle accélération au cœur de la surface, le ballon est retourné à Arda Güler qui a surpris son monde en fixant une frappe du pied droit sur lequel Soria n’était pas impeccable (0-1, 21e). La Casa Blanca avait profité de la carte d’affichage et du jeu. Güler, libéré par son but, a tout conduit avec Propos, tandis qu’Endrick s’est finalement distingué avec un joli avec Vinicius avant de tomber sur un Sori décisif (32e).
Vraiment à peine tremblé
Brahim Diaz a à son tour essayé une frappe sèche (37e) mais le Maroc était le moins visible du secteur offensif. Sérieusement sinon excitant, ce vrai semblait être parti pour éviter le piège de Getafe et sa défense approximative. Au retour des vestiaires, cependant, il était nécessaire de se méfier d’une légère révolte. Le club formé par José Bordalas ne s’était pas soudainement transformé en adepte d’un jeu offensif léché, mais il a apporté une présence plus offensive. ANCELOTTI a donc réagi en lançant Bellingham à la place d’Endrick, volontaire mais peu trouvé.
Vinicius a joué la carte individuelle contre (67e) mais n’a pas trouvé le cadre, tout comme Arambarri, presque seul au point de pénalité (73e). Le vrai passait très près du coup de bambou, mais cela n’a pas empêché Carlo Ancelotti de souffler Vinicius, pour le Clasico samedi, remplacé par Rodrygo, puis la meilleure offensive de Madrid de la soirée Arda Güler, remplacée par Ceballos. La menace de l’égalisation est restée présente, mais plutôt diffuse, et la peur est venue principalement d’un camavangonga affecté après le contact. Le Français a été contraint de quitter ses partenaires avant la fin du match. Dans le processus, c’est courtois qui a pris un coup après une ruée à sa surface, ce qui ne l’empêchait pas de faire un dernier défilé dans un délai supplémentaire. L’essentiel a été fait, le Real Madrid est sorti de son court voyage avec une victoire tout aussi courte (1-0), ce qui lui permet de revenir à 4 points du FC Barcelone dans la classification LIGA.
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