À la gare de Gare-de-Lyon, une soirée de grève, l’accès au portique à la ligne 1 du métro est ouvert. « Je me suis dit: Il y a une grève, Et je suis passé sans valider mon Navigo Easy Pass « , explique Marie, quarante ans qui » travaille dans le pub « . Mais quelques mètres plus loin, il fait face à une mère de … contrôleurs. » J’avais l’impression d’être tombé dans un piège. C’est comme si les barrières à péage sur l’autoroute étaient levées et que les flics attendaient les automobilistes qui les ont traversés sans les payer pour les aligner « , compare-t-elle. Le contrôleur, qui » n’a rien à voir avec (son) Protestes de bonne foi « , lui donne une amende de » 35 euros immédiatement ou 65 euros plus tard « . Elle s’installe immédiatement en gémissant, balançant que » le Ratp ferait mieux d’attaquer les vrais fraudeurs « .
Marie, qui n’a absolument pas le profil du Resquiller, a vécu cet épisode « comme une injustice », même si l’agent n’a appliqué le règlement … à la lettre. Ce n’est pas le seul, dans le flot de millions de voyageurs qui empruntent quotidiennement dans les transports publics d’Ile -de -France, pour dénoncer un manque de discernement.