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le rapport de sécurité du 3ème Chambord Live

Peu d’interventions et une évaluation  » positif « C’est ce dont se souviennent les occupants du poste de commandement opérationnel, quelques heures après la fermeture du 3et Chambord en direct. Sous l’impulsion de la préfecture du Loir-et-Cher, gendarmes et pompiers ont ainsi pu assurer la sécurité publique, en lien avec les associations agréées de sécurité civile.

Près de 70 gendarmes (compagnie de Blois, poste à cheval, réservistes, équipe de drones…) se sont mobilisés toute la journée « fluidifier le trafic autour du site », avant et surtout après les concerts. D’autres militaires patrouillaient.

Pompiers et policiers, sous l’impulsion de la préfecture, ont pris le poste de commandement opérationnel à proximité du 3e Chambord Live pour assurer la sécurité des spectateurs.
© Photo NR Fabien Burgaud

« Aucun fait majeur »

Une dizaine de pompiers se tenaient prêts à intervenir avec un camion de pompiers. Devant eux, sur des écrans, une dizaine de caméras ainsi que le compteur du nombre de visiteurs en temps réel pour gérer les flux.

Après les concerts, « Les gens étaient disciplinés, civiques et patients pour sortir des parkings ! Le colonel Benoît Chevillard, commandant du groupement de gendarmerie du Loir-et-Cher, est satisfait, dimanche 30 juin 2024. Il y avait quelques véhicules embourbés, sortis grâce à la bonne volonté d’autres automobilistes. »

Les milliers de véhicules stationnés sur les parkings et leurs conducteurs ont été « disciplinés », a indiqué le chef des gendarmes du Loir-et-Cher.
© Photo NR, Jérôme Dutac

En réponse aux critiques sur la lenteur du départ de Chambord, le militaire rappelle qu’il y avait « moins de capacité de stationnement avec un sol détrempé. Nous l’avons rendu beaucoup plus fluide ».

La préfecture établit également un procès-verbal  » positif  » de l’événement. « Nous avons eu un malaise dans la mine d’or avec une personne qui avait des douleurs à la poitrine, transportée au centre hospitalier de Blois. Tout s’est bien terminé »indique Pierre Chareyron, directeur de cabinet du préfet. Plus tard, les pompiers ont dû sauter à l’eau pour secourir un homme tombé dans le Cosson, à proximité du parking P4, à 2 heures du matin

Arrête le verre

« Un homme a glissé, ses amis ont voulu l’aider et les pompiers ont secouru tout le monde. Ils ont été mis en sécurité »sans nécessiter de transport à l’hôpital. « Il faut saluer la bonne coopération des services de sécurité et de l’organisation avec les pompiers et la police. » L’appareil a été levé à 3 heures du matin

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La seule difficulté ? « La vente de bouteilles de champagne en verre sur stands, ce qui n’est pas adapté. Cela a été rapidement réglé avec l’organisateur, les clients ont pu être servis dans des gobelets en plastique. »confie Pierre Chareyron.

La préfecture assure qu’une « retour » sera bientôt établi pour indiquer ce qui pourrait être « amélioré » l’année prochaine, surtout les sorties des lieux. « Ceux qui ont mis 2h30 à quitter le site resteront forcément marqués. »

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