« Il faut remettre le contrôle et le pilotage dans le système privé », tonne le macroniste. Autrement, il existe un risque de concurrence déloyale entre les secteurs privé et public. » Il regrette que l’État finance en grande partie ces établissements sans surveiller ce qui s’y passe. Les audits y seraient très rares. Paul Vannier va plus loin. « Quel est le montant total dépensé pour les établissements privés sous contrat ? Dix, onze, peut-être douze milliards d’euros… Personne ne sait rien. C’est presque hors de contrôle. C’est très opaque. »