« L’ex-Twitter rend viraux des messages qui violent les droits de l’homme », dénonce le journal dans un article.
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Le quotidien espagnol La Vanguardiabasée à Barcelone, a annoncé jeudi 14 novembre qu’elle ne publierait plus de contenus sur « un réseau de désinformation ». La décision intervient au lendemain d’une annonce similaire du quotidien britannique Le Gardien.
« L’ex-Twitter rend viraux les messages qui violent les droits humains »accuse le journal dans un éditorial, dans lequel il souligne qu’il continuera toutefois à suivre les comptes de personnalités, d’entreprises ou d’institutions sur le réseau social pour « pouvoir informer ponctuellement ses lecteurs des messages ou des débats qui pourraient y être échangés ou s’y dérouler ».
📌 ‘La Vanguardia’ a déjà publié sa forme directe sur les réseaux sociaux
– La Vanguardia (@LaVanguardia) 14 novembre 2024
« Les dirigeants du journal ont indiqué qu’ils étaient inquiets depuis longtemps car les théories du complot et le mépris des droits de l’homme sont très présents sur X. Le facteur qui les a finalement décidés à quitter le réseau social a été la couverture des élections présidentielles aux États-Unis. États »le texte continue.
A l’issue de l’élection qu’il a remportée le 5 novembre, Donald Trump a annoncé son intention de nommer le patron de X, Elon Musk, à la tête d’une commission chargée de réduire les dépenses publiques, conjointement avec l’homme d’affaires républicain Vivek Ramaswamy.