le quartier Pissevin sous tension

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L’émotion est toujours très forte à Nîmes, après la mort de Fayed, 10 ans, abattu alors qu’il se trouvait dans la voiture de son oncle. Les coups de feu ont été tirés non loin d’un point de trafic de drogue.
Deux jours après la fusillade mortelle, des vigies ont repris leur place dans le quartier Pissevin, à Nîmes (Gard). La police mène immédiatement une opération coup de poing : une descente au pied des immeubles, avec contrôles d’identité. Dans la région, le trafic de drogue et les fusillades sont monnaie courante. Le petit garçon abattu est une victime collatérale, selon les premiers éléments de l’enquête.
Un étudiant studieux et apprécié
C’était un élève studieux et apprécié, aux dires de son entourage. « Fayed était un petit gamin plutôt réservé, très sage, très posé, qui écoutait, qui essayait de s’appliquer dans le travail (…) c’était un enfant (…) comment au 21ème siècle, en France, on peut fusiller un enfant par une Kalachnikov ? Comment est-ce possible ? témoigne, émue, Marie-Pierre Windal, qui fut son institutrice de maternelle. Les témoignages des habitants devant les caméras de France 2 sont rares, signe de la tension dans ce quartier difficile.
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