Le PSV craint pour la sécurité « tout sauf garantie » de ses supporters à Paris
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Le PSV craint pour la sécurité « tout sauf garantie » de ses supporters à Paris

Le PSV craint pour la sécurité « tout sauf garantie » de ses supporters à Paris

Dans un communiqué dans lequel il salue la décision du Conseil d’Etat autorisant enfin le déplacement de ses supporters à Paris mardi, pour la troisième journée de Ligue des champions, le PSV craint de devoir se passer de leur soutien.

Nouveau revirement pour les supporters du PSV Eindhoven. Autorisés depuis samedi à se rendre au Parc des Princes pour voir leur équipe affronter le PSG en Ligue des champions mardi (21 heures) après en avoir été interdits, ils n’ont finalement pas pu faire le déplacement à Paris, a annoncé le club néerlandais dans un communiqué. communiqué de presse .

« La victoire en référé a redoré l’image du PSV et de ses supporters, ce qui est évidemment satisfaisant. Dans la perspective du match contre le Stade Brestois en décembre, c’est aussi un signal important », s’est d’abord réjoui le PSV avant de regretter qu' »un certain nombre de restrictions restent en vigueur, comme l’interdiction de zone et la liberté de s’exprimer en tant que citoyen. Fan du PSV ».

Une rencontre classée à haut risque

« Il n’en demeure pas moins qu’en raison des problèmes de sécurité intérieure, sur lesquels les Français ont communiqué des informations au PSV, la sécurité des sportifs du PSV qui voyagent est loin d’être garantie. Pour le match de mardi, cela signifie que le PSV devra se passer du soutien. de toute façon de ses propres supporters », a conclu le club néerlandais.

Quelques heures plus tôt, le Conseil d’État avait suspendu l’arrêté d’interdiction de voyager, pris par le ministère de l’Intérieur le 16 octobre. Bruno Retailleau avait justifié cette décision en évoquant 500 individus « identifiés comme étant à risque » et « fortement susceptibles de provoquer ». Supporters parisiens », dont « 100 à 200 hooligans ». La rencontre est classée à haut risque (4 sur 5 par la DNLH).

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