« Pour le moment, nous n’allons pas ce (mardi) soir à Matignon. Nous pouvons appeler cela une suspension, nous verrons dans les prochaines heures si elle produit d’autres réactions », a déclaré le député socialiste Laurent Baumel.
Publié
Mis à jour
Temps de lecture: 2min

Mots qui sapent les négociations. Le parti socialiste a annoncé qu’il avait annulé une réunion prévue le mardi 28 janvier avec le gouvernement pour conclure un accord pour le comité conjoint du budget, après les commentaires du Premier ministre sur l’immigration. François Bayrou a maintenu mardi après-midi à l’assemblée à l’idée d’un « submersion » Migration vers Mayotte et dans plusieurs autres départements français, des mots qu’il avait déjà faits lundi soir sur LCI et qui a choqué la gauche en négociations complètes entre le gouvernement et les socialistes sur le projet de loi de financement pour 2025 et une censure non non non.
« Pour le moment, nous n’allons pas (Mardi) Soirée à Matignon. Nous pouvons appeler cela une suspension, nous verrons dans les prochaines heures s’il produit d’autres réactions« Dit le député socialiste Laurent Baumel avant la presse. Il considérait qu’il était « Trop tôt pour dire ce que nous allons faire, mais ce qui s’est passé cet après-midi ne va pas dans la direction d’un non-censure »Il a admis.
« Il est possible qu’en effet, s’il n’y a pas de mouvement rhétorique, la position des socialistes évolue vers la censure »Il a poursuivi, tout en spécifiant que la discussion est restée « Collectif au sein de notre groupe et de notre corps ». Laurent Baumel a notamment rappelé que parmi les arguments de non-censure, « Prendre en compte la stabilité et la nécessité de donner un budget en France »continu « Pour être un paramètre ».
« Mais entre les concessions, qui pour le moment ne sont pas suffisantes, et le fait que nous ayons un Premier ministre qui quitte la logique du front républicain (…), en prenant la rhétorique et un vocabulaire généralement de l’extrême droite, Cela rend la conclusion des négociations beaucoup plus difficile « A fait valoir Laurent Baumel.