Le prince Harry ne verra pas son père, le roi Charles III lors de sa visite au Royaume-Uni
Karwai Tang/WireImage
Le prince Harry, présent en septembre 2022 lors des funérailles de sa grand-mère la reine Elizabeth, ne verra pas son père lors de la visite qu’il a entamée à Londres ce mardi 7 mai.
FAMILLE ROYALE – Pas le temps de se voir. En visite au Royaume-Uni pour célébrer les dix ans des Invictus Games, le prince Harry ne verra pas son père le roi Charles III, atteint d’un cancer. Les deux hommes ne sont pas parvenus à s’entendre sur leurs agendas, a indiqué mardi 7 mai un porte-parole du prince, qui a évoqué une impossibilité du côté du roi. .
« La réunion ne sera malheureusement pas possible en raison du calendrier très chargé de Sa Majesté. Le duc de Sussex est bien entendu conscient de l’agenda de son père, de ses engagements et de ses autres priorités, et espère le voir bientôt », expliquait son conseiller quelques heures après l’arrivée d’Harry à Londres.
Il est arrivé dans la capitale britannique pour une cérémonie marquant les 10 ans des Invictus Games, une compétition internationale pour les soldats blessés, déclenchant inévitablement des rumeurs sur une visite à son père. Car le duc de Sussex entretient notoirement des relations difficiles avec le roi et surtout son frère, l’héritier de la couronne William, depuis qu’il a claqué la porte de la monarchie en 2020 pour s’installer en Californie avec son épouse Meghan.
Le roi Charles III va mieux
Depuis que le roi Charles III a rendu public son cancer, Harry est venu le voir une fois lors d’un voyage éclair début février. Le souverain de 75 ans, toujours sous traitement, a repris ses activités publiques tout début mai, rencontrant le public, apparaissant souriant et serrant la main, mais marchant lentement.
Neuf mois après son sacre en mai 2023, le palais avait annoncé début février que Charles III souffrait d’un cancer, découvert après une opération de la prostate en janvier. Sa nature et son état d’avancement n’ont jamais été précisés, mais l’annonce de sa maladie était en soi une petite révolution, brisant le silence qui entourait jusqu’alors la santé des souverains.
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