Le prince Harry en aurait marre d’être « l’éternel remplaçant »
Le prince Harry est-il condamné à toujours arriver deuxième ? Selon plusieurs experts de la famille royale, la réponse est oui. Dans Le substitut, le fils du roi Charles III a évoqué le malaise provoqué par son statut, celui d’être venu au monde pour assurer le maintien de la monarchie si quelque chose de grave arrivait à son frère aîné, Guillaume, né pour régner. Pour les spécialistes de la monarchie britannique, ce rôle resterait son destin, même après avoir renoncé à ses fonctions royales.
En cause, comme c’est souvent le cas pour les tabloïds outre-Manche, Meghan Markle, dont le nouveau projet éloignerait son mari de la lumière. La duchesse de Sussex a annoncé le lancement de sa marque lifestyle, American Riviera Orchad.
Loin de Buckingham, l’ancienne actrice Costumes a toute liberté pour créer les activités commerciales qu’elle souhaite, et celles-ci doivent offrir au public tout ce dont il a besoin pour se sentir vivre comme elle, des pots de confiture au linge de maison.
« Nous avons besoin les uns des autres »
Suivant les traces de Goop, marque fondée par Gwyneth Paltrow, l’américain Riviera Orchad pourrait rapporter à Meghan Markle une somme à six chiffres dans les premiers jours qui suivront la Miroir. Le projet s’appuie sur l’art de vivre de la duchesse de Sussex, dans la lignée du blog qu’elle tenait avant de rencontrer son mari, ce dernier restera, en effet, dans l’ombre.
« L’ironie de cette nouvelle marque est que Meghan sera toujours en tête et Harry derrière – le pauvre Harry qui est toujours destiné à être le remplaçant, mais cette fois pour une entreprise qui l’aurait horrifié il y a dix ans », Tom Quinn , expert royal et auteur de nombreux livres, a déclaré au tabloïd.
Quant à ceux qui prédisent un divorce dans un avenir plus ou moins proche, le spécialiste estime qu’ils « ont besoin l’un de l’autre » sur le plan professionnel et affectif. D’un côté, Meghan Markle ne pourrait pas réussir dans son entreprise « sans l’étincelle royale » que lui procure son mariage. En revanche, le prince Harry serait « terrifié à l’idée de n’avoir rien à faire » et voudrait donc « être inclus le plus possible » dans ce nouveau projet. Des besoins qui seraient renforcés par la situation à Buckingham. « La sympathie du public ne va plus à eux et à la manière dont la famille a très mal traité Meghan, mais à Kate Middleton qui est atteinte d’un cancer », ajoute Tom Quinn.
Reste à savoir si Meghan Markle accompagnera le prince Harry lors de sa venue à Londres début mai, où il devrait célébrer les dix ans des Invictus Games, qu’il a fondés.