Le plaignant ne s'est pas présenté aux tests d'évaluation psychologique, Auradou et Jegou devront attendre (Rugby)
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Le plaignant ne s’est pas présenté aux tests d’évaluation psychologique, Auradou et Jegou devront attendre (Rugby)

Le plaignant ne s’est pas présenté aux tests d’évaluation psychologique, Auradou et Jegou devront attendre (Rugby)

Nouveau rebondissement dans l’affaire « Jegou-Auradou ». Ce vendredi, la plaignante de 39 ans, qui accuse les deux internationaux français de viols collectifs violents, devait être entendue par des experts dans le cadre d’examens psychologiques et psychiatriques recommandés. Elle ne s’est pas présentée au rendez-vous prévu, comme nous l’ont indiqué les avocats d’Oscar Jegou et Hugo Auradou.

Ces tests constituaient la dernière étape avant la possibilité pour les avocats de la défense de demander, au plus tôt la semaine prochaine, l’abandon des charges contre leurs clients, et donc, la possibilité pour les deux internationaux de rentrer en France. « Ce sera enfin pour mardi »déclare l’avocat des deux joueurs, Rafael Cuneo Libarona, interrogé par Le ParisienLes analyses psychologiques devraient être finalisées mardi, permettant de déposer la demande de licenciement. « en cours »insiste l’avocat argentin.

Selon l’avocate de la plaignante, Me Natacha Romano, elle n’était pas en état de se présenter aux tests d’évaluation prévus à cette date vendredi. Les avocats de Jegou et Auradou sont en colère et soutiennent qu’il y a  » une provocation « , ce qui retarde encore davantage la libération de leurs clients. A ce jour, aucune date pour un nouveau rendez-vous concernant les tests psychologiques et psychiatriques du plaignant n’a été précisée.

Jegou et Auradou sont tenus de rester en Argentine

Hugo Auradou et Oscar Jegou, 21 ans, sont accusés de viols collectifs aggravés commis dans la nuit du 6 au 7 juillet dans une chambre d’hôtel de Mendoza, à un millier de kilomètres à l’ouest de Buenos Aires, où l’équipe de France venait de disputer un match test contre l’Argentine.

Arrêtés le 8 juillet dans la capitale argentine, où était revenue la délégation française, ils ont été transférés à Mendoza le 11 juillet et inculpés le lendemain de « viol collectif ». Les internationaux français ont quitté le centre de détention le 17 juillet après avoir été assignés à résidence, puis ont été libérés sous condition le 12 août, après plusieurs semaines de procédure. Oscar Jégou et Hugo Auradou sont toujours tenus de rester en Argentine, leurs passeports ayant été confisqués.

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