Entre octobre et décembre 2024, la croissance économique a été pénalisée par le ralentissement de la consommation des ménages, mais elle a atteint 1,1% par rapport à l’année, comme prévu par Insee et le gouvernement.
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Une réaction des Jeux olympiques et paralympiques à Paris. Le produit intérieur brut (PIB) de la France a contracté 0,1% au quatrième trimestre, a annoncé l’INSEE jeudi 30 janvier, mais il a augmenté de 1,1% en 2024, conformément à ses prévisions.
Entre octobre et décembre, une période marquée par la chute du gouvernement de Michel Barnier, la croissance économique a été pénalisée par le ralentissement de la consommation des ménages (+ 0,4% après + 0,6%), en particulier dans les services, tandis que cela avait soutenu l’augmentation de 0,4 % du PIB observé au troisième trimestre.
À l’âge de 2024, la croissance économique française a atteint 1,1%, comme prévu par Insee et le gouvernement. Il a été licencié par le commerce extérieur (+0,9 point après 0,6) tandis que la demande intérieure finale a ralenti (+0,7 points après 0,9).
Les investissements ont chuté de 0,1%, moins fortement que pendant l’été (-0,3%): ceux des entreprises sont restés stables alors qu’ils ont chuté de -0,3% (après – 0,7%). Au total, la demande intérieure finale (à l’exclusion des actions) a augmenté de 0,3 points (après +0,4) au quatrième trimestre. La contribution du commerce extérieur a été négative (-0,2 point après -0,1 au troisième trimestre), les importations qui ont rebondi face à la baisse des exportations.
Pour 2025, le gouvernement du Premier ministre François Bayrou a réduit ses prévisions de croissance de 1,1% à 0,9%. Pour sa part, INSEE compte sur une augmentation de 0,2% du PIB au cours des premier et deuxième trimestres, horizon de ses prévisions.