Le patient, qui avait été contaminé par une nouvelle variante de MPOX et qui a été hospitalisé à Rennes, n’est plus malade et ne présente plus un risque de contamination, a annoncé mardi l’AFP (ARS) Mardi à ARS mardi (ARS) de Brittany. «Le patient va bien. Elle a repris son travail. L’isolement suivant les symptômes a été respecté et il ne présente plus un risque de contamination »Le département des communications d’ARS Bretagne a déclaré à l’AFP.
Les autorités sanitaires avaient été alertées le 2 janvier d’un cas potentiel de cette nouvelle souche du virus, anciennement appelé « Variole unique ». Ce patient n’avait pas voyagé en Afrique centrale, mais avait « Cependant, il était en contact avec deux personnes de retour d’Afrique centrale »Le ministère de la Santé a déclaré dans un communiqué. Ce n’était pas le clade 1 classique, présent pendant des décennies en Afrique, mais une variante, le clade 1b, beaucoup plus récemment identifié dans la République démocratique du Congo (RDC).
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Identifiée pour la première fois en RDC en 1970, la maladie est depuis longtemps circonscrite à une douzaine de pays africains. Mais en 2022, il a commencé à se développer dans le reste du monde, en particulier les pays développés où le virus n’avait jamais circulé. MPOX est caractérisé par des lésions cutanées, telles que les pustules, la forte fièvre et les douleurs musculaires.