Un ex-partenaire l’a accusé de lui avoir imposé un rapport sexuel non consenti dans la nuit du 30 octobre 2021. Échec des indices graves ou concordants « , le juge a confirmé le licenciement en appel.
La Cour d’appel de Paris a confirmé cette non-émission en début d’après-midi dans l’enquête sur le viol ce jeudi qui visait l’acteur et humoriste Ary Abittan, ciblé par la plainte d’une femme pour viol en 2021, a appris l’AFP à partir de sources proches de la déposer. «La justice a considéré qu’Ary Abittan est innocente, après une enquête sur plus de trois ans. Les sept magistrats qui ont dû régner sur ce dossier sont unanimes. Maintenant, il n’y a pas de place pour douter sur l’innocence de mon client »m’a accueilli Caroline Toby.
Sollicités, les avocats du plaignant n’ont pas réagi immédiatement à la présente décision de la Cour d’appel conformément aux réquisitions du bureau du procureur, faite lors d’une audience le 19 décembre. La jeune femme, qui a assisté à l’acteur pour un Quelques semaines au moment de la prétendument, l’ont accusé d’avoir imposé une sodomie lors d’une soirée à domicile le 30 octobre 2021.
« Un partenaire respectueux »
23 ans à l’époque, elle avait déposé une plainte peu de temps après et des lésions ont été trouvées médicalement, compatibles avec un rapport sexuel anal. Placé en garde à vue le lendemain matin, Ary Abittan avait été inculpé pour viol. Au cours de la procédure, la jeune femme avait décrit l’acteur comme « obsédé » Par la pratique de la sodomie mais a précisé qu’il avait, jusque-là, accepté son refus.
En juillet 2023, les deux juges enquêts avaient levé les accusations visant à Ary Abittan, sans manque « Indices sérieux ou concordants ». Ils ont notamment souligné les témoignages d’anciennes copines d’Ary Abittan décrivant « Un partenaire respectueux » ainsi que l’expertise psychiatrique et psychologique partant « Sexualité déviante ou impulsions sexuelles agressives ». Le bureau du procureur de Paris et les juges ont également estimé que les déclarations du plaignant le soir des faits avaient « A évolué » Et cette partie de ces éléments était « Contradictions » par l’enquête. À la fin, « Une certaine équivoque » Le plaignant avait été conservé « En conduite et signaux » envoyé à l’acteur.
Depuis le début de la clarification judiciaire de lui, l’acteur a repris ses émissions, qui ont encore récemment été émaillé par des manifestations féministes, en particulier à l’appel du collectif #Noustoutes demandant l’annulation de certaines dates. L’acteur de « Qu’avons-nous fait au bon Seigneur? » doit se produire fin février à Paris.