Ces frappes font craindre une guerre régionale plus large au Moyen-Orient, où Israël combat également les militants du Hamas dans la bande de Gaza depuis octobre dernier.
Des centaines de personnes ont également été déplacées par les frappes, le ministre libanais de l’Intérieur, Bassam al-Mawlawi, ayant annoncé que des écoles à Beyrouth, Tripoli et dans le sud du Liban seraient ouvertes comme abris, selon les médias locaux.
Plus tôt lundi, le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a déclaré qu’Israël « intensifiait ses frappes au Liban » et s’est engagé à poursuivre les attaques « jusqu’à ce que nous atteignions nos objectifs ».
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanani, a qualifié la dernière série de frappes de « folles » et a mis en garde contre des « conséquences dangereuses » pour Israël, sans donner plus de détails.
Israël a lancé ses frappes aériennes quelques heures après que le Hezbollah a tiré des dizaines de roquettes dimanche sur une base militaire dans le nord d’Israël.
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