« Je m’attendais à ce que (le Premier ministre roumain Marcel) Ciolacu agisse cette semaine pour tenter de manipuler l’opinion publique afin de retirer l’AUR de la compétition électorale », a-t-il écrit sur son site Internet.
« Vous ne nous intimiderez pas, vous ne nous arrêterez pas ! Tant que nous aurons les Roumains à nos côtés, rien ne pourra nous abattre ! a-t-il déclaré, ajoutant que si ses opposants politiques voulaient qu’il soit « menotté », ils devraient gagner aux élections de dimanche.
Le parti AUR de Simion obtient un taux de 17 pour cent dans les sondages et devrait arriver deuxième aux élections européennes de dimanche derrière le Parti social-démocrate de gauche et le Parti national libéral de centre-droit, qui ont formé une coalition.
Simion a été impliqué dans de nombreuses controverses politiques et, en 2018, il s’est vu interdire l’entrée en Moldavie – dont son parti est favorable à l’unification avec la Roumanie – pendant cinq ans.
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