«Le gros problème, c'est le nombre de personnes qui font l'objet d'une OQTF», affirme Randall Schwerdoffer, avocat pénaliste.
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«Le gros problème, c’est le nombre de personnes qui font l’objet d’une OQTF», affirme Randall Schwerdoffer, avocat pénaliste.

«Le gros problème, c’est le nombre de personnes qui font l’objet d’une OQTF», affirme Randall Schwerdoffer, avocat pénaliste.

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Durée de la vidéo : 17 minutes

OQTF : « Le gros problème, c’est le nombre de personnes qui font l’objet d’une OQTF », affirme Randall Schwerdoffer, avocat pénaliste
Randall Schwerdoffer, avocat pénaliste, est l’invité de franceinfo, jeudi 26 septembre. Alors que le débat sur les OQTF est vif, il est revenu sur cette question.
(Franceinfo)

Randall Schwerdoffer, avocat pénaliste, est l’invité de franceinfo, jeudi 26 septembre. Alors que le débat sur les OQTF est vif, il est revenu sur cette question.

Après le meurtre d’un étudiant par un homme visé par une OQTF, obligation de quitter le territoire français, le débat sur l’efficacité de ce système est relancé. « Il y a eu une révision en 2024 de la loi sur les OQTF, c’est-à-dire que lorsqu’une OQTF est décidée, sa validité n’est plus d’un an, mais de trois ans »explique Randall Schwerdoffer, avocat pénaliste, invité de franceinfo jeudi 26 septembre. « Le gros problème aujourd’hui, c’est le nombre de personnes qui font l’objet d’une OQTF et c’est le nombre de places qu’il y a dans les centres de rétention spécialisés »il explique.

Toutes les personnes ne peuvent pas être contrôlées et ne sont donc pas soumises à une surveillance judiciaire. Comment le meurtrier de Philippine, déjà reconnu coupable de viol, a-t-il pu être libéré ? « Les lois sont peut-être trop laxistes, pas les juges », assure Randall Schwerdoffer. En effet, avec l’ancien système de réduction automatique de peine, le suspect, condamné à sept ans, allait à cinq ans de prison.

Regardez l’interview complète dans la vidéo ci-dessus.

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