le gouvernement en faveur du maintien des prix réglementés

Les prix réglementés de l’électricité seront maintenus, a décidé du gouvernement, tandis que l’autorité de la concurrence a plaidé en particulier leur abolition.

Les prix réglementés de l’électricité seront maintenus dans les prochaines années en France. Le débat a été ouvert ces derniers mois, dans le cadre d’une évaluation de ce système, prévu dans les droits français et européens.

L’autorité de la concurrence pensait qu’il était nécessaire de les supprimer, de céder précisément « Jeu gratuit » Concurrence, lorsque la Commission de la réglementation de l’énergie a préconisé leur entretien. Le gouvernement vient donc de décider de conserver ces prix car ils protègent les consommateurs et le système électrique.

La Commission européenne effectuera son évaluation des prix réglementés, sur la base du rapport des ministres, d’ici la fin de l’année. La mise en œuvre des taux réglementés étant autorisés dans le cadre européen, « Il n’y a pas, à ce stade, une perspective de supprimer TRV »Spécifie le cabinet de Marc Ferracci, le ministre de l’industrie et de l’énergie.

Selon Bercy, ces prix réglementés sont bénéfiques car ils apportent une stabilité. Les prix de l’électricité sont en effet très volatils sur les marchés, comme nous l’avons vu pendant la crise énergétique. Les prix réglementés atténuent ces variations car elles sont calculées à partir des prix de gros sur deux ans.

Cela protège donc les clients sans entraver la concurrence, souligne le rapport des ministres de l’économie et de l’énergie. Comme preuve, si 70% des ménages ont aujourd’hui un contrat au prix réglementé ou indexé sur le TRV (pour les prix de vente réglementés), cette action baisse par peu. Les clients changent sur les offres du marché, signe que la concurrence fonctionne.

De plus, cet appareil contribue à la bonne santé du système électrique. Par exemple, les prix différenciés entre les heures complètes et les heures hors pic encouragent la consommation, au cours de la journée. Pour le gouvernement, nous devons donc conserver ces prix réglementés tout en améliorant les marchés de détail.