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Le geste parfait de Leclerc, Verstappen et Red Bull en souffrance… Les hauts et les bas

Le coup tenté par Ferrari et Leclerc, mais aussi la belle course de Piastri, le mauvais dépassement de Verstappen et l’erreur de Russell : retrouvez les hauts et les bas du GP d’Italie.

Hauts

Leclerc, le cliché parfait

Quatrième sur la grille, Charles Leclerc n’était pas le favori pour la victoire à Monza. Et pourtant. Le Monégasque a pris un bon départ et a profité des erreurs de Russell et du dépassement de Piastri sur Norris. Cela lui a permis de rapidement remonter en deuxième position et de tenir tête à l’Australien pendant dix tours. Au 16e tour, il a alors chaussé les pneus durs mais tout le monde pensait que Ferrari ferait deux arrêts comme le reste du plateau. Mais non. La Scuderia a pris le pari de n’effectuer qu’un seul arrêt et cela s’est avéré payant puisque le Monégasque a franchi la ligne en premier. Sa deuxième victoire de la saison après Monaco et la septième de sa carrière.

Piastri n’a rien à se reprocher

Il est passé si près d’une deuxième victoire après la Hongrie. L’Australien (2e) a fait tout ce qu’il pouvait en Italie. Il a dépassé Norris, son équipier, avec autorité dès le premier tour et a ensuite signé les meilleurs tours en course. Mais il a été pénalisé par la stratégie à deux arrêts de McLaren qui lui a clairement coûté la victoire.

Une course pleine de suspense

Dépassements, stratégies différentes et rebondissements : le Grand Prix d’Italie a été animé et plein de suspense. A l’opposé de celui de Zandvoort le week-end dernier, où la course avait été plutôt ennuyeuse.

Les flops

Red Bull en grande difficulté

La chute continue pour l’écurie autrichienne. Max Verstappen n’a pu faire mieux que 6e à Monza tandis que Sergio Perez a terminé 8e. Le Néerlandais n’a plus gagné depuis six courses et sa monoplace semble désormais incapable de suivre régulièrement les McLaren et Mercedes. De plus, toute l’équipe est hors d’usage puisque même les arrêts aux stands commencent à être manqués de plus en plus régulièrement. Lors de son premier arrêt, Verstappen a été immobilisé plus de 6 secondes au lieu des 2 habituelles et le Néerlandais a tapé son volant de colère. Quand rien ne va plus…

Russell s’est précipité

Troisième sur la grille, George Russell visait un podium en Italie dimanche, voire mieux, mais dès le départ, le Britannique a gâché sa course. Il a percuté Norris avant le premier virage et endommagé son aileron avant. Cela l’a rétrogradé à la 7e place et l’a contraint à avancer son premier arrêt. Le pilote Mercedes a laissé sa trace dans le trafic, ce qui lui a causé un contretemps et l’a finalement conduit à terminer septième. Pas le résultat qu’il recherchait.

Ray Richard

Head of technical department in some websites, I have been in the field of electronic journalism for 12 years and I am interested in travel, trips and discovering the world of technology.
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