Rapport d’audience – En l’absence de son procès, Ibrahim Bendjilali a été condamné à 24 mois d’emprisonnement ferme par le tribunal pénal pour le transport de la résine de cannabis en récidive. Un mandat d’arrêt a été émis contre lui.
Le nom de famille avait fait la une des journaux de Marseille l’année dernière. Le père, Smaïn Bendjilali, avait été directement impliqué par Gérald Darmanin pour sa prédication et ses remarques « Légitimer la violence » Proférifié dans le parc de la mosquée aux myrtilles. Mais c’est le fils, Ibrahim Bendjilali, qui devait comparaître ce jeudi matin devant le tribunal pénal pour les actes de transport et la détention des stupéfiants en récidive.
Une audience qu’Ibrahim Bendjilali a sciemment contourné en n’apparaissant pas devant le 12e Salle correctionnelle. Le tribunal a toujours décidé d’étudier son dossier et de condamner la personne concernée à 24 mois d’emprisonnement, accompagnée de la révocation du séjour simple qui avait été attribué dans une autre affaire. « Cependant, il a eu l’occasion de se présenter et avait réussi à obtenir le contrôle judiciaire malgré la lourdeur du dossier »Blows son avocat, maître Mélanie Portalis, avec le Figaro. Les conseils ont choisi de ne pas plaider en raison de l’absence inattendue de son client.
Il faut dire que le voyage d’Ibrahim Bendjilali fait déjà l’objet d’une attention particulière de la justice, puisque le casier judiciaire de l’homme de 19 ans a déjà signalé sept condamnations, avant cette procès, pour une litanie d’infractions: une réunion dans une réunion, un port de coups de couteau de catégorie de catégorie, de violence aggravée et enfin de trafic de drogues. Une activité finale qui lui a déjà valu la condamnation à cinq mois d’emprisonnement et lui avait presque coûté sa vie fin août dernier.
Alors que son père était dans les vues de la préfecture de la police de Bouches-du-Rhône qui avait demandé la fermeture administrative de la mosquée dont il était l’imam, Ibrahim Bendjilali avait été violemment agressé par plusieurs personnes à capuche qui cherchaient à l’intimider contre le contexte du trafic de drogue. Pris dans un appartement dans un appartement au centre de Marseille, le jeune homme s’était jeté dans le vide pour échapper à ses assaillants.
Le lendemain et bien qu’il ait été traité avec le Timone pour fractures, la police a eu la stupeur de voir Smaïn Bendjilali apparaître dans le parc d’un poste de police dans la division centrale. Le père est allé spontanément là-bas pour dénoncer son fils, qu’il soupçonnait d’avoir stocké du cannabis chez lui. Les recherches avaient conduit à la saisie d’équipements d’emballage, à une certaine quantité de résine de cannabis et à quelques centaines d’euros d’argent. Une honte pour le prédicateur, connu pour dissuader ses jeunes fidèles de se joindre aux réseaux de revente des stupéfiants.
Une nouvelle implication qui n’a manifestement pas empêché Ibrahim Bendjilali de repousser et d’être mis au défi dans la récidive le 31 décembre avec des médicaments. La police piégée dans le district de Carmelite l’avait défié avec un peu plus de 400 grammes de résine de cannabis cachée dans un sac en papier. Le petit butin était selon lui destiné à son « consommation » Et « Celui de ses amis ». Une version qui n’est pas très crédible aux yeux des enquêteurs, en fait de son histoire et de son manque d’activité professionnelle connue.
« J’observe qu’il est déjà soumis à deux séjours probatoire et qu’il avait déjà été placé sous surveillance judiciaire au moment des faits. Il ne comprenait toujours pas »a commenté le procureur, qui a demandé une année d’emprisonnement, une révocation du séjour probatoire dont il avait bénéficié en cas de violence volontaire contre ses proches en septembre 2024, ainsi que l’interdiction de séjour dans le Bouches-du-Rhône.
Les réquisitions largement suivies par le tribunal pénal, qui a condamné Ibrahim Bendjilali à 24 mois de prison accompagnée de la révocation du simple séjour à partir duquel il avait bénéficié dans un dossier précédent. Être considéré comme « Sur la course »Un mandat d’arrêt a également été émis contre lui. «Dans cette histoire, mon client a été forcé. Il a été victime d’une tentative d’assassinat. Je regrette son absence à la barre »Commentaires Master Portalis. Le père du jeune homme devra également comparaître devant le tribunal bientôt, cette fois pour des « excuses pour le terrorisme ». L’audience aura lieu le 25 mars. Entre-temps, l’ancien imam a été tenu à l’écart de sa mosquée afin de suivre une formation universitaire sur la laïcité.
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