Alors que l’actualité au FC Nantes tourne depuis plusieurs jours autour du sort d’Antoine Kombouaré, les prud’hommes ont rendu mardi leur jugement concernant l’un de ses prédécesseurs. Licencié fin novembre 2023 et licencié en février dernier, Pierre Aristouy a obtenu gain de cause contre ses anciens employeurs, qui devront lui verser la somme de 730 000 euros, dont 20 000 euros de préjudice moral.
Le jugement implique une exécution provisoire de 50%, ce qui signifie que le FCN est tenu de verser immédiatement la moitié des 730 000 euros à son salarié, représenté dans cette affaire par Me Matthieu Barandas. Le FC Nantes a un mois pour faire appel, ce qui devrait probablement être le cas.