« Les socialistes ont été entendus. Nous avons ajouté un milliard d’euros pour les hôpitaux et aboli les billets de modérateur », explique le « parisien » le ministre du Travail et de la Solidarité au « parisien ».
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
Catherine Vautrin a libéré sa calculatrice. Le ministre du Travail de la Santé et de la Solidarité a annoncé, le samedi 1er février, que le déficit de sécurité sociale « sera le montant en 2025 à moins de 23 milliards d’euros »dans une interview parisien. « Sans le budget, il atteindrait 30 milliards d’euros »Elle a ajouté, tandis que l’Assemblée nationale attaque lundi à l’examen du projet de budget de sécurité sociale pour 2025 qui avait abandonné le gouvernement de Michel Barnier.
« Les socialistes ont été entendus. Nous avons ajouté un milliard d’euros pour les hôpitaux et supprimé des billets de modérateur (une partie des dépenses de santé qui reste la responsabilité du patient après le remboursement de l’assurance maladie), en particulier sur Consultations Medical, au coût de 400 millions d’euros « Elle a dit. « Sur l’EHPAD, nous proposons de tripler le fonds d’urgence voté sur l’initiative du Sénat, en passant de 100 millions à 300 millions d’euros »Elle a ajouté.
Le ministre a également expliqué dans son entretien que le gouvernement avait l’intention de récupérer en particulier un milliard d’euros via un texte « ce qui augmentera la contribution des mutuels complémentaires» « . Elle avait annoncé le principe de cela « Contribution spécifique » à la mi-janvier. Catherine Vautrin a également mentionné la suppression de « Plusieurs niches sociales inefficaces »contribuer à la réduction du déficit, ainsi qu’à « Consultations avec les fabricants dans certains secteurs » autorisé « Passer les dépenses en médicaments d’assurance maladie ».
Interrogé sur la possibilité d’un 49,3 pour voter le budget de sécurité, elle a répondu que « Rien n’est exclu ». Le ministre a également abordé la question des pensions dans son entretien, et plus particulièrement la question de la capitalisation, qui contraste avec le système de distribution, à la base du système. « Aucun sujet n’est tabou »dit le ministre, jugeant que« Nous devons arrêter de faire des films: la capitalisation existe déjà ». « Dans la fonction publique, combien de personnes ont des préfères? Qu’en est-il des contrats privés retirés par les Français? Vous ne devriez pas commencer par mettre des interdictions »Elle a ajouté.