HISTOIRE – Le président du gouvernement espagnol se précipite au secours de Begoña Gomez, soupçonnée dans une enquête sur ses activités professionnelles.
Madrid
C’est un « opération de destruction par tous les moyens » orchestré par « la droite et l’extrême droite » qui oblige un homme à s’arrêter « profondément amoureux de (son) femmes », insiste Pedro Sanchez. Une interprétation reprise par son gouvernement, publiquement ou discrètement, et par les représentants de son parti, le Parti socialiste (PSOE). C’est un « spectacle pour adolescents » Et « narcissique » au « frivolité inacceptable » ce qui provoque un « Ridicule international », répond le chef de l’opposition et président du Parti populaire (PP, droite), Alberto Nuñez Feijoo, suivi de ses lieutenants et de la presse conservatrice. Surtout, il s’agit d’une situation totalement nouvelle et non prévue par aucun texte, que voit le chef du gouvernement espagnol « continuez à travailler mais annulez votre agenda public » jusqu’à lundi, le moment de « réfléchir à » à sa continuation ou à sa démission. Une mise entre parenthèses de l’essentiel de son activité annoncée mercredi soir, qui a plongé dans une « État de choc » son…