Loin d’assumer leurs actes, la plupart des accusés affirment ne pas avoir eu « l’intention » de violer la victime. Au cœur de leur défense : l’absence du mot « consentement » dans le code pénal.
Sur les 50 accusés, 35 estiment que l’acte sexuel qu’ils ont commis sur Gisèle Pélicot ne constituait pas un viol. Dans ce procès hors norme qui s’est ouvert lundi 2 septembre devant le tribunal correctionnel du Vaucluse, tous ont été recrutés sur internet pour avoir des rapports sexuels avec cette femme endormie, droguée à son insu par son mari avec une grande quantité d’anxiolytiques écrasés quotidiennement dans son dîner. Cependant, la plupart des accusés nient la qualification de viol « râpé » , considérer qu’il n’y avait rien derrière leurs actions « pas de mauvaises intentions » ni même de« aspect transgressif ».
Alors que Dominique Pélicot assure que tous ces hommes étaient au courant que sa femme n’était pas consentante, ils jurent que cette dernière leur a fait croire à une « mise en scène »UN « scénario » établi par un « couple libertin », dont Gisèle Pélicot aurait été actionnaire. Sans jamais, toutefois, l’avoir vérifiée. L’argument a pourtant été défendu par…
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