Le Conseil constitutionnel censuré, jeudi 24 avril, certaines dispositions de la loi sur la sécurité dans les transports adoptées le mois dernier, en particulier celles « Permettre l’utilisation de contraintes par des agents privés ».
La loi prévoyait que les forces de sécurité SNCF et RATP peuvent « Construction » Quiconque dérange en particulier le« Ordre public » a » partir « Stations, stations ou véhicules. « En reconnaissant une telle prérogative à ces agents, tandis qu’une mesure des contraintes est, par nature, la compétence des autorités policières seules »Ces dispositions sont contraires à la Constitution, jugée le Conseil constitutionnel, qui avait été saisi par des députés, des écologistes et des socialistes « rebelles ».
Si ces agents peuvent réellement « Accès à l’abri » « À ces endroits, ils ne peuvent pas faire de l’exercice « Une contrainte sur la personne qui refuse de se conformer »Il a détaillé. L’actuel ministre des Transports, Philippe Tabarot, était à l’origine du projet de loi lorsqu’il était sénateur.
Cavaliers législatifs
Très attendu par les professionnels, il comprend notamment la durabilité de porter les caméras à poteaux par les contrôleurs, ainsi que la possibilité de la sécurité des forces de sécurité pour le SNCF et le GPSR pour le RATP à effectuer des palpations sans avoir besoin de l’accord des préfet ou pour intervenir sur les périphériques des stations. Dispositions validées par le Conseil constitutionnel.
D’un autre côté, il a également censuré la mise en œuvre, sur une base expérimentale, des caméras avant et latérales se sont lancées dans des autobus scolaires à Mayotte. « La déclencheur des caméras sur les panneaux n’est pas soumise à l’occasion » d’un » incident « Possible ou en cours, a noté le Conseil constitutionnel. «Ce faisant, le législateur a autorisé une utilisation généralisée des appareils mobiles capturant l’image d’un grand nombre de personnes, y compris des mineurs, sans superviser la durée de leur mise en œuvre.» Ces dispositions contrevient donc à « Droit et respect pour la vie privée »Selon l’institution.
Le Conseil constitutionnel a finalement considéré comme « Cavaliers »C’est-à-dire sans lien suffisant avec le texte initial, plusieurs articles, y compris celui qui visait à équiper les agents du service de sécurité SNCF, déjà équipé d’armes mortelles à porter une citrouille électrique (Taser). Également concerné: un article étendant l’expérimentation d’un dispositif de surveillance vidéo algorithmique lors de grands rassemblements, testés en particulier lors des Jeux olympiques de Paris-2024.