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Le Congrès américain ouvre une enquête sur les groupes finançant les manifestations anti-israéliennes sur les campus

Le Congrès américain ouvre une enquête sur les groupes finançant les manifestations anti-israéliennes sur les campus

Le Congrès américain a lancé mardi une vaste enquête sur 20 groupes à but non lucratif qui financent et soutiennent des manifestations anti-israéliennes sur les campus universitaires, appelant notamment les autorités fédérales à mettre à sa disposition tout document interne susceptible de prouver que ces organisations sont impliquées dans le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, selon le Washington libre. Balise.

Affiche vidéo

Parmi les groupes cités figurent Students for Justice in Palestine (SJP), American Muslims for Palestine (AMP), Jewish Voice for Peace, le Rockefeller Brothers Fund, la Tides Foundation, l’Open Society Foundations, la Fondation Bill et Melinda Gates, le Council sur les relations américano-islamiques (CAIR), Adalah Justice Project et Samidoun. Autant d’organisations identifiées comme bailleurs de fonds ou partisans du mouvement de protestation national, qui a vu des étudiants établir des campements anti-israéliens sur les campus universitaires. Le SJP et l’AMP, principaux organisateurs de ces manifestations anti-israéliennes, sont également poursuivis en justice par les victimes israéliennes du terrorisme qui affirment que ces groupes servent de « collaborateurs et propagandistes du Hamas ».

Cette enquête constitue l’une des actions les plus importantes menées par le Congrès à ce jour pour identifier ceux qui financent les manifestations anti-israéliennes à l’échelle nationale et révéler leurs liens potentiels avec des activités terroristes et de blanchiment d’argent.

Dans une lettre justifiant cette enquête, les représentants républicains James Comer et Virginia Foxx se disent « gravement préoccupés par le chaos actuel et les activités illégales et antisémites qui ont lieu sur un nombre croissant de campus à travers le pays ». L’enquête, écrivent-ils, « aborde à la fois l’influence malveillante sur les campus universitaires et les implications sur la sécurité nationale d’une telle influence sur les professeurs et les organisations étudiantes ».

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