Cette analyse rappelle que ces programmes sont équivalents à ces combinaisons annuelles de l’Autriche, de la Hongrie, de la République tchèque et de la Slovaquie, voire à des programmes annuels de 120 millions de voitures.
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Les émissions de carbone en Ukraine ont augmenté de 31% en 2024, pour atteindre près de 230 millions de tonnes équivalentes au CO2 depuis le début de l’invasion russe, le 24 février 2022. Ce sont les résultats de la guerre dans la guerre de la guerre Ukraine lundi, 24 février, dans une étude que la culture de la France a pu consulter et mener par « l’initiative sur la comptabilité des GES de la guerre », un groupe d’experts climatiques pour dénoncer le Impact climatique de la guerre et de l’écriture par un scientifique ukrainien, membre du GIEC. Les résultats doivent être officiellement dévoilés lors de la 62e session du GIEC à Hangzhou, en Chine.
Cette analyse, publiée au moment du troisième anniversaire de la guerre, rappelle que ces programmes sont équivalents à ces programmes annuels de l’Autriche, de la Hongrie, de la République tchèque et de la Slovaquie, ou même des programmes annuels de 120 millions de voitures.
Sont pris en compte dans cette étude: les véhicules lourds consommant du carburant, de l’acier et du béton utilisés pour les fortifications et les éléments de défense. Les émissions des activités militaires ont également continué de croître régulièrement en 2024, dépassant l’autre grande catégorie de coûts climatiques: la reconstruction des bâtiments et des infrastructures endommagés.
La sécheresse intense l’été dernier, dans une grande partie de l’Ukraine, a provoqué deux fois plus d’incendies de forêt que les années précédentes. Ces incendies sont en partie attribués au réchauffement climatique, mais aussi au conflit, pointent vers les spécialistes du climat. Ils ont émis 16,9 millions de tonnes d’équivalent CO2.
Les experts des ONG notent que l’utilisation accrue des drones en 2024 n’a pas compensé l’utilisation de coquilles d’artillerie, coûteuse pour le climat. Les attaques intensifiées contre les infrastructures énergétiques ont entraîné une augmentation de 16% des émissions de carbone. L’infrastructure pétrolière a été particulièrement affectée, provoquant une augmentation des émissions de 2 millions de tonnes équivalentes au CO2 en 2024. Depuis le début de l’invasion russe, l’aviation a été responsable de la question de 14 millions de tonnes d’équivalent CO2.
L’étude prend également en compte les émissions liées aux réfugiés fuyant les zones de guerre. « »La Fédération de Russie devrait être tenue responsable de ces émissions et des dommages climatiques qui en résultent « déclare le groupe d’experts climatiques qui cite l’ajout à plus de 42 milliards d’euros. Ce montant a été obtenu en appliquant « Coût social du carbone« À partir de 185 dollars américains par tonne d’équivalent CO2. Dans leur plaidoyer, les auteurs de l’étude affirment que le coût climatique de la guerre est pris en compte dans les négociations de paix à venir.
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