Divertissement

Le compagnon violent d’Iris Mittenaere libéré sous contrôle judiciaire

« Mon impulsivité est un problème. Je n’aurai plus de contact avec elle. Je veux qu’elle soit heureuse. Le procès de la compagne de l’ex-Miss France, Iris Mittenaere, a été reporté ce vendredi par le tribunal correctionnel de Paris au 6 novembre 2024. Bruno Pelat, 22 ans, comparaissait pour avoir, entre juin et septembre 2024 à Paris, commis des violences. contre un conjoint et pour consommation de cannabis. Il a été libéré sous contrôle judiciaire avec interdiction de contact avec le trentenaire et obligation de soins.

Selon les déclarations de la plaignante, le jeune homme l’aurait frappée, lui aurait cogné la tête contre un mur et l’aurait rabaissée, la menaçant de « lui faire perdre ses contrats » ou de « licencier son père ». Le procureur a requis le placement en détention, rappelant que le casier judiciaire de cet homme est entaché de quatre condamnations, dont une pour violences sur son père et une autre peine pour coups et blessures sur son ancienne compagne.

L’avocate de la victime, Me Émilie Bruézière, explique que sa cliente est toujours très choquée par ce qu’elle a vécu et n’est pas en mesure de s’exprimer devant le tribunal. « Mais elle a des choses à dire et veut apporter son témoignage, c’est important », ajoute l’avocat. La reine de beauté a demandé que son ex n’ait plus de contact avec elle. Mais elle ne voudrait pas qu’il soit incarcéré.

Il souffre d’un symptôme d’abandon et d’impulsivité

Dans le box, dans la salle d’audience, aux cheveux et à la barbe noirs, l’accusé, aux yeux rougis, confirme qu’entre Iris et lui, tout est fini. Ce jeune homme titulaire d’un baccalauréat est gérant d’une agence immobilière. Il vit dans le 18ème arrondissement avec son père. Il ne connaissait pas sa mère et c’est son père qui l’a élevé. Il a rencontré de grandes difficultés psychologiques, souffrant d’un symptôme d’abandon et d’impulsivité.

Depuis, il s’est réconcilié avec son père. Ce dernier précise, lors de l’enquête de personnalité, que son fils est sous suivi médical, mais aurait besoin d’investir dans une démarche de soins de longue durée. Ce garçon confirme qu’il fume du cannabis principalement le week-end et avec des amis. Son conseil, Me Augustin d’Ollone, plaida en faveur d’un contrôle judiciaire avec renvoi de Paris vers la bastide de son père.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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