Le chef de la Garde républicaine revient sur sa performance lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques

Frédéric Foulquier, chef de la musique de la Garde républicaine, est revenu sur sa participation à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques aux côtés d’Aya Nakamura, confiant que « c’était une grande joie ».

Une rencontre bienvenue. Invité de « C à vous » mardi 10 septembre, le chef de la Garde républicaine a évoqué sa prestation et celle de ses musiciens lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques le 26 juillet, lorsque la Garde républicaine a non seulement joué, mais aussi dansé aux côtés d’Aya Nakamura sur le pont des Arts.

« Nous avons participé à ce jeu avec beaucoup de plaisir ! » a expliqué Frédéric Foulquier, notamment à propos de la partie danse de leur prestation, révélant que cette chorégraphie leur avait été présentée lors de leur première rencontre avec Aya Nakamura, le 15 juillet dernier. « Ils nous ont montré ces pas de danse et bien sûr j’ai dit oui », a-t-il expliqué.

Interrogé ensuite par Elizabeth Lemoine sur une hypothétique humiliation pour la Garde républicaine de danser et chanter aux côtés de l’interprète de Djadja, Frédéric Foulquier s’est au contraire réjoui de ce moment. « C’était une grande joie. Je vous l’assure », a-t-il confié, revenant par ailleurs sur les coulisses de la préparation de cette rencontre.

Un secret bien gardé

« J’ai appris en janvier que nous allions participer à l’un des douze tableaux. On nous a présenté le thème de ce tableau et on nous a dit que nous serions associés à un artiste français de stature internationale », a-t-il déclaré, précisant qu’à l’époque l’identité de ce dernier était encore secrète.

Et de poursuivre : « Nous avons eu vent de qui cela pouvait être lorsque nous avons reçu la partition et découvert quelques tubes de cet artiste. Personnellement, je ne connaissais pas le répertoire mais les jeunes musiciens ont tout de suite compris », a-t-il poursuivi, avant de conclure « Mais bien sûr, nous avons gardé le secret jusqu’à la fin ».