Le chat domestique, un prédateur bientôt réglementé ?
C’est le chouchou du web, le compagnon préféré des familles… et un tueur en série. Sous ses dehors câlins, le chat domestique, Felis catus de son petit nom latin, reste un chasseur né, et 9000 ans après sa domestication, son impact sur l’environnement est de plus en plus scruté. Dans une étude publiée dans Nature Communications L’an dernier, des chercheurs l’ont décrit comme « l’une des espèces invasives les plus problématiques au monde ». Au menu du félin ? Quelque 2 000 espèces animales, dont certaines sont en voie de disparition.
En Suisse aussi, où l’on en compte environ 2 millions, les chats domestiques sont omniprésents : selon des estimations récentes, ils tuent chaque année 30 millions d’oiseaux et un demi-million de reptiles et d’amphibiens, sans compter les déchets qu’ils produisent et les émissions causées par la production de leur nourriture. Et l’impact du prédateur sur la biodiversité est pris plus au sérieux que jamais, révèle le rapport. NZZ le dimanche. Dans un article paru ce dimanche, les médias alémaniques révèlent que l’Association suisse pour la protection du climat, à l’origine de la célèbre initiative populaire pour les glaciers, travaille sur une initiative.
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