Quelques jours avant son départ avec l’entrée en fonction lundi de l’administration du président élu Donald Trump, le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, a longuement défendu, jeudi, la politique des Etats-Unis au Moyen-Orient, largement critiquée. pour son soutien à Israël depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza.
Fait rare, sa conférence de presse, qui s’est tenue dans la salle de briefing du département d’État, a été interrompue à plusieurs reprises par des journalistes indépendants critiques de la politique américaine, accusant M. Blinken de complicité de génocide. « Criminel! » Votre place est à La Haye »où siège la Cour pénale internationale (CPI), a lancé l’un d’eux avant d’être évacué manu militari par les services de sécurité.
Parlant du cessez-le-feu, M. Blinken, qui aura effectué douze voyages au Moyen-Orient depuis le 7 octobre 2023, a jugé que « C’est un moment de possibilité historique pour la région et au-delà ». Mais « Il faudra beaucoup de courage politique, trouver des compromis pour concrétiser cette possibilité, et essayer de garantir que les progrès réalisés au cours des quinze derniers mois, au prix d’énormes coûts, soient effectivement durables. »dit-il.
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