HISTOIRE – Alors que Téhéran annonçait un deuil national de cinq jours, un déluge de vidéos, de blagues et même de mèmes ont déferlé sur la toile.
Correspondant à Istanbul
Une carrière répressive signifie un destin fatal. « Le « Boucher de Téhéran » n’a eu que ce qu’il méritait !», jubile Massoud, ancien prisonnier d’opinion. La mort ce dimanche 19 mai du très conservateur président iranien Ebrahim Raissi, dans un accident d’hélicoptère dans la province de l’Azerbaïdjan oriental, marque la fin d’un parcours politique bâti sur la violence et le sang. « Depuis lundi matin, il règne une étonnante ambiance festive dès que l’on met le pied dans une boulangerie ou une épicerie. Les clients se regardent d’un air entendu et se félicitent au lieu de présenter leurs condoléances», témoigne un journaliste iranien contacté à Téhéran. Toute la nuit, elle est restée scotchée à l’écran de son smartphone, suivant minute par minute des opérations de recherche dans le brouillard et la pluie, triant le flot d’informations contradictoires, naviguant entre les lignes de la propagande, jusqu’à la mort du président Raïssi…
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