Elle avait commenté les audiences du procès de viol Mazan sur son compte Instagram quotidiennement et avait été controversée. L’avocate Nadia El Bouroumi a été condamnée, ce mercredi 23 avril, une année de suspension suspendue par le Conseil régional de discipline de la Cour d’appel de Nîmes, pour des faits antérieurs, selon la décision consultée par le Parisien.
L’avocate pénale a été jugée pour des actes avant le procès sur le viol Mazan, au cours de laquelle elle a défendu deux des cinquante accusés jugés aux côtés de Dominique Pelicot.
Formation éthique
Le Conseil de disciplinaire régional de la Cour d’appel de la Nîmes a reconnu Nadia el Bouroumi, coupable d’avoir « contrebalancé les règles éthiques de la profession d’avocat » en particulier « en étant un actionnaire majoritaire et président d’une entreprise commerciale dont l’objet social couvre les activités de la profession de la profession Dès qu’il n’est pas réservé à ses clients « , mais aussi parce que » de son comportement qui a provoqué un incident le 23 mai 2023 au Palais de Justice d’Évry « (Essonne).
D’un autre côté, il a été publié pour la «publication sur les réseaux sociaux de plusieurs photographies» du public, le 25 septembre 2023.
Le double meurtre de Montigny-Lès-Metz (1/2)
Crime Story raconte les grandes affaires criminelles chaque semaine.
L’avocat reçoit donc une interdiction temporaire d’exercer une année suspendue. Nadia El Bouroumi a également interdit de faire partie du Conseil de l’Ordre, du Conseil national des Barreaux, d’autres organisations ou des conseils professionnels ainsi que le bureau d’un président pendant une période de trois ans « , précise la décision. Parmi les mesures ordonnées par le Conseil de disciplinaire régional, l’avocat devra également suivre 20 heures de formation en éthique.