En décembre 2021, le Danemark a signé un accord avec le Kosovo pour louer une prison dans une petite ville au sud de la capitale Priština. D’ici dix ans, et en échange de 210 millions d’euros, 300 détenus condamnés à l’expulsion seront relocalisés.
Ces projets sont toutefois toujours en suspens, le traité n’ayant pas été adopté par le parlement du Kosovo.
« Nous souhaitons intensifier davantage la coopération entre nos pays dans le domaine de la sécurité et de la lutte contre le crime organisé », a déclaré Karner.
Lors de la conférence sur la migration, plus de 250 dirigeants politiques et organisations internationales ont discuté de solutions via des partenariats avec des pays tiers pour gérer les arrivées de réfugiés et faciliter les retours.
Les critiques affirment que les projets d’expulsion sapent les réglementations en matière d’asile dans l’UE et violent les droits de l’homme.
Karner, fan du modèle rwandais, a déjà exigé une modification des « réglementations européennes » pour faciliter les expulsions depuis les pays de l’UE.
