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l’auteur présumé, objet d’une OQTF, interpellé par la police suisse à Genève

Photo d'illustration du Bois de Boulogne, à Paris, où le corps de Philippine a été retrouvé enterré samedi 21 septembre.
STÉPHANE DE SAKUTINE / AFP Photo d’illustration du Bois de Boulogne, à Paris, où le corps de Philippine a été retrouvé enterré samedi 21 septembre.

STÉPHANE DE SAKUTINE / AFP

Photo d’illustration du Bois de Boulogne, à Paris, où le corps de Philippine a été retrouvé enterré samedi 21 septembre.

DIVERS – Une première interpellation. La découverte samedi du corps enterré d’une étudiante avait lancé une vaste opération policière pour retrouver l’auteur du meurtre commis au bois de Boulogne, dans le XVIe arrondissement de Paris. Et ce mardi 24 septembre, l’enquête a déjà franchi une première étape importante.

Trois jours après la macabre découverte de Philippine, une étudiante de 19 ans à l’université Paris-Dauphine, un homme de 22 ans soupçonné de l’avoir tuée a été interpellé par la police suisse à Genève, selon les informations concordantes de BFMTV et Europe 1.

Le suspect a été interpellé à la gare de Genève. Selon le site Actu17, il sera immédiatement placé en détention provisoire, dans l’attente d’une demande d’extradition des autorités françaises vers la Suisse.

Dans le cadre d’une OQTF

Les informations sur le jeune suspect arrêté sont rares à ce stade de l’enquête. Cependant, Le Parisien indique que cet homme serait un ressortissant marocain, déjà connu de la justice française pour un viol commis en 2019. Selon Europe 1 Et Actu17il était également soumis à une OQTF, obligation de quitter le territoire français, ainsi qu’à un formulaire de recherche lié à cette OQTF.

Samedi après-midi, des recherches dans le bois de Boulogne ont permis d’exhumer le corps de la jeune femme, dont les proches étaient sans nouvelles depuis la veille. Elle avait été aperçue lors d’un déjeuner au Crous de l’université Paris-Dauphine avant de disparaître. Et selon les premiers résultats de l’autopsie, révélés par Le Parisien, l’étudiante est morte par asphyxie. Un terme souvent utilisé, comme le note le journal, dans les cas de strangulation.

Depuis lors, des sources de plusieurs médias citées précédemment ont indiqué que l’ADN du suspect arrêté mardi avait été retrouvé sur la scène du crime.

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Gérard Truchon

An experienced journalist in internal and global political affairs, she tackles political issues from all sides
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