Au lendemain de l’annonce du départ d’Adrian Newey de Red Bull début 2025, Lewis Hamilton et Charles Leclerc ont affirmé jeudi qu’une éventuelle arrivée du brillant ingénieur britannique chez Ferrari serait « incroyable ».
Le septuple champion du monde, qui quittera Mercedes pour rejoindre la Scuderia l’année prochaine, a admis lors de la conférence de presse précédant le Grand Prix de Miami qu’il aimerait que Newey rejoigne sa future équipe.
«(J’adorerais)… Adrian a un tel palmarès, une telle expertise. Il a accompli un travail remarquable tout au long de sa carrière. Je pense qu’il serait un atout incroyable pour l’équipe. Si je devais faire une liste de personnes avec qui j’aimerais travailler, il serait certainement en tête. Ce serait un privilège de travailler avec lui. »dit Hamilton.
Il fait partie des personnes du paddock avec qui vous espérez travailler un jour au cours de votre carrière.
Charles Leclerc
Sans surprise, Charles Leclerc, son futur coéquipier au sein de l’écurie italienne, partage son avis. « Évidemment, je serais très heureux de travailler avec Adrian. Il fait partie des personnes du paddock avec qui vous espérez travailler un jour au cours de votre carrière. Nous avons une équipe incroyable chez Ferrari en ce moment, mais ajouter Adrian à une telle équipe serait incroyable.a jugé le Monégasque.
« Même si l’équipe est très forte en ce moment, tous ceux qui peuvent la rendre encore plus forte sont les bienvenus et Adrian fait partie de ces personnes qui peuvent faire la différence », a-t-il ajouté lors d’un point presse. Après plusieurs semaines de rumeurs, Red Bull a officialisé mercredi le départ d’Adrian Newey (65 ans) début 2025 après presque 20 ans au sein de l’écurie autrichienne.
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Artisan des succès de l’équipe qu’il a rejoint en 2006, un an après sa création, et avec laquelle il a remporté six titres mondiaux constructeurs et sept titres pilotes, l’ingénieur britannique aurait décidé de partir en raison des luttes de pouvoir en cours. chez Red Bull, selon la BBC.
L’équipe basée à Milton Keynes (Angleterre) est en effet déchirée par une guerre interne révélée en février après des accusations de « comportement inapproprié » envers un employé visant le directeur Christian Horner, depuis blanchi par une enquête interne.
