L'armée israélienne affirme avoir frappé sept sites du Hezbollah dans le sud du Liban
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L’armée israélienne affirme avoir frappé sept sites du Hezbollah dans le sud du Liban

L’armée israélienne affirme avoir frappé sept sites du Hezbollah dans le sud du Liban

L’armée israélienne a annoncé jeudi 19 septembre avoir mené six frappes aériennes dans la nuit de mercredi à jeudi. « sites d’infrastructures » Hezbollah et un dépôt d’armes dans le sud du Liban. Les sites visés sont situés « dans les régions de Chihine, Tayibe, Blida, Meiss El Jabal, Aitaroun et Kfarkela au sud du Liban »et l’entrepôt d’armes du Hezbollah « dans la région de Khiam au sud du Liban »Selon un communiqué de l’armée, l’armée a indiqué dans un autre texte que deux drones étaient entrés jeudi en Israël depuis le Liban. Ils sont tombés dans des zones proches de Beit Hillel et Ya’ara, sans faire de blessés, mais l’un d’eux a déclenché un incendie que les pompiers israéliens étaient en train d’éteindre, selon le communiqué. Suivez notre diffusion en direct.

Le leader du mouvement islamiste libanais prendra la parole. Un discours attendu. Le chef du Hezbollah libanais, Hassan Nasrallah, doit s’exprimer jeudi à 16 heures (heure de Paris), au sujet de la série d’explosions survenues depuis mardi dans le pays. Une attaque de première page, survenue mardi, a causé la mort d’au moins 12 personnes et blessé 2.800. Pour l’instant, Israël n’a fait aucun commentaire, tandis que l’armée israélienne a annoncé lundi qu’elle « s’apprêtait à lancer une attaque contre le Hezbollah ». Le ministre libanais des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, a déclaré que la première attaque pourrait être le signe avant-coureur d’une guerre plus large au Moyen-Orient.

De nouvelles explosions meurtrières. DDes talkies-walkies ont explosé, faisant 20 morts et plus de 450 blessés mercredi, selon le dernier bilan du ministère de la Santé. Les explosions ont eu lieu dans la banlieue de Beyrouth, ainsi que dans le sud et l’est du Liban, selon les autorités.

Des appareils qui ne sont plus fabriqués depuis « une dizaine d’années ». Le fabricant japonais L’Icom a déclaré jeudi, après enquête, qu’il avait arrêté de produire « il y a environ dix ans » des talkies-walkies suspectés d’avoir explosé. « L’IC-V82 est une radio portable qui a été produite et exportée, notamment au Moyen-Orient, de 2004 à octobre 2014 (…) Depuis, elle n’a plus été expédiée par notre société »a commenté l’entreprise.

Préoccupations de la communauté internationale. Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, a condamné mercredi ces attaques. « attaques »se disant à lui-même « extrêmement préoccupé » par la situation. L’ONU a déploré une «« Une escalade extrêmement inquiétante » et Washington a mis en garde contre toute « escalade »Le Conseil de sécurité de l’ONU se réunira d’urgence vendredi pour discuter de la série d’explosions.

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