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L’armée américaine affirme avoir tué 37 membres de groupes terroristes lors de frappes en Syrie

Elle a déclaré avoir ciblé des membres du groupe État islamique et de Hurras al-Din, un groupe lié à l’Etat islamique et à Al-Qaïda.

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Base aérienne de Dyess, Texas, États-Unis, 1er février 2024. (UPI/NEWSCOM/SIPA)

Les forces armées américaines ont affirmé dimanche 29 septembre avoir tué 37 membres de groupes terroristes lors de deux frappes distinctes en Syrie, selon un communiqué du Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient (Centcom).

Une première frappe, le 16 septembre, a visé un camp d’entraînement du groupe État islamique et a tué 28 de ses membres, dont au moins quatre responsables, selon le Centcom.

Le 24 septembre, un bombardement dans le nord-ouest de la Syrie visant Hurras al-Din, un groupe lié à l’Etat islamique et à Al-Qaïda, a fait neuf mortsdont un cadre supérieur.

Les États-Unis disposent d’environ 2.500 soldats en Irak et près de 900 en Syrie, dans le cadre de la coalition internationale créée en 2014 pour lutter contre le groupe État islamique. Elle doit cesser ses opérations en Irak fin septembre 2025, tout en les poursuivant en Syrie, ont annoncé vendredi Bagdad et Washington. Fin août, l’armée américaine et les forces de sécurité irakiennes ont tué quinze combattants de l’EI lors d’une opération en Irak.

Gérard Truchon

An experienced journalist in internal and global political affairs, she tackles political issues from all sides
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