L’ancien maire de Prades (Pyrénée-Oriendales) et président de la communauté des communes du confrenture Canigo ont été entendus jeudi par les gendarmes de Montpellier. Il a été libéré après dix heures en garde à vue.
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L’ancien Premier ministre Jean Castex a été placé en garde à vue et entendu pendant dix heures par les Gendarmes de Montpellier, le jeudi 13 février, a appris la France Télévisions de Source proche du dossier, confirmant les informations de BFMTV. L’ex-maire de Prades (Pyrénée-Orientales) a été publié dans la soirée et de nouvelles enquêtes seront menées, a déclaré le procureur de Perpignan.
« Jean Castex, en tant que président de la Communauté de Commune du Kein, deux anciens vice-présidents et le directeur général des services ont été placés en garde à vue, et libérés à la fin de la garde, dans le cadre d’une enquête préliminaire pour False , Utilisation de faux, détournement de fonds publics sans enrichissement personnel « Le procureur Perpignan a déclaré à l’AFP. Les faits qui font l’objet de cette enquête remontent à l’époque où il était président de la communauté de Commun Contente Canigo (2015-2020).
Dans un communiqué de presse envoyé à l’AFP, Jean Castex a confirmé qu’il était allé dans le cadre d’une enquête préliminaire, au Gendarmerie Montpellier, « À entendre là-bas sur des faits remontant à 2017/2018 (…), qui concernent un dossier d’assistance économique » à une entreprise « Dans lequel il n’avait aucun intérêt personnel ». Il dit qu’il a répondu « À toutes les questions » qui ont été installés et se tiennent « Clairement à la disposition de l’autorité judiciaire ».